lundi 16 janvier 2012

Lundi 16 Janvier 2012

Face à un incident boulversant, toute personne raisonnable et sensée sait peser le pour et le contre sans se laisser embarquer dans un engrenage émotionnel ou une manifestation caractérielle intempestive...


Lors d'un face-à-face houleux, il importe que chaque partie puisse excercer son droit à la parole afin d'exprimer ses opinions et définir ses options...
Sinon...quand colère et brutalité ont force de loi...il ne reste que ruines...

4 commentaires:

  1. Encore une jolie photo Michèle! Quel bleu intense!

    En ce qui concerne ton texte, la première partie, te dire que le "mental" est très important dans ce que tu dis ... :)

    Pour la seconde partie, je suis tout à fait d'accord, j'en ai fait plusieurs fois l'expérience comme chacun d'entre nous sans doute, c'est drôle, en fait c'est pas drôle du tout, je trouve que le droit de parler, la liberté de parler, de s'exprimer, de penser est de plus en plus bafouée de nos jours, on a l'impression de ne plus être écouté, on dirait que les gens n'ont plus le temps d'écouter, ou ont une case en moins, ils parlent pour deux et quand ils ont fini leur monologue, ils te disent, merci de m'avoir donné de tes nouvelles, ça m'est arrivé plusieurs fois ce genre de situation, et je suis certaine que la personne ne se rend même pas compte que toi t'as pas pu en placer une ... :)))
    Alors, passer son chemin et ne plus y penser ... :)

    Gros bisous par moins trois degrés Celsius ben oui c'est pas Fahrenheit

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    1. Oui, Soleil, le genre de situation que tu décris, ça peut se faire sans houle, avec sourire, mais c'est violent quand-même et ça ruine des relations...
      Parler "avec" quelqu'un, s'en faire écouter, et ne pas montrer la moindre curiosité pour cette personne, c'est d'une incivilité grave !
      Avec le temps, j'y suis devenu très sensible...

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    2. Bien sûr Mariane, c'est violent, quand je dis "passer son chemin et ne plus y penser ... ", je dis ça pour faire la "forte" celle qui ne s'afflige pas pour si peu, mais en vérité, c'est pour masquer ma sensibilité, le fait que cela me fait du mal que je dis cela ... Et oui ça stope ou brise des relations mais bon en même temps, il vaut mieux s'arrêter le plus vite possible ça fait moins de dégâts ... :)

      Mariane, quand tu dis "Parler "avec" quelqu'un, s'en faire écouter, et ne pas montrer la moindre curiosité pour cette personne, c'est d'une incivilité grave !
      Avec le temps, j'y suis devenu très sensible...

      Moi c'est pareil que toi, on n'est pas obligé de poser des questions, d'être trop curieux, mais simplement faire des pauses dans son discours, regarder la personne, un sourire, un regard au loin, et dire ... et toi qu'en penses-tu? ... ?
      et SURTOUT attendre la réponse ou la faciliter mais ne pas redémarrer le monologue ... :)))))

      C'est bien ce système de commentaire avec réponse, c'est nouveau, ça permet de discuter sur un thème ...hein Mariane?

      Merci Michèle :)

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  2. La houle et le "droit", difficile à jumeler...

    Dans un face à face, on est supposé improviser... et pour faire valoir son droit ou respecter celui, égal, de l'autre, faut s'être bien entraîné(e) à gérer la houle face à soi même, ou face à plein d'autres situations similaires... sinon, l'impro risque de laisser un mauvais souvenir...

    Et s'il se trouve que par le passé, on a souvent été chaviré(e) par la violence de la houle, qu'elle nous a presque toujours forcé(e) à lâcher la barre et jeté(e) au sol, pas évident d'avoir la confiance nécessaire pour une prise de recul permettant la civilité des échanges...

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