Dans le tumulte fracassant des nations en guerre hurle la vaine protestation des peuples...
Par ces temps où les adversaires deviennent nombreux quel dénouement attendre quand la loyauté disparait du coeur des hommes ?...
Qui, que et en quoi croire quand la parole mensongère énonce tout et son contraire ?...
Alors se lèvent les volontés qui ont su préserver la pureté originelle en leurs âmes...
Dès lors elles agiront suivant une véhémente et spirituelle inspiration...
Qu'à jamais ne périssent la justice, la bonté et l'espoir pour que les peuples puissent chanter la gloire d'un hymne nouveau...
Etrange, belle, intéressante et drôle même sous Cézaire enfant-teint, cette photo de l'évolution ...poétique et riche !
RépondreSupprimerOui "pour que les peuples en guerre puissent chanter la gloire d'un hymne nouveau", retrouver confiance, espoir, liberté dans leur terre, dans leur coeur et leur chair.
Je "voeu" d'égalité, de fraternité, d'apaisement, pour tous !
Belle année de phrases et de maximes quotidiennes, qui nous éclairent, au fil du temps qui évolue, sur ce bel espace, clair, riche, profond, vivant, Michèle !
Je t'embrasse !
Que l'Homme soit un nounours pour l'Homme...
RépondreSupprimerQu'un chapiteau géant, telle une immense ombrelle protectrice, empêche le Ciel de nous tomber sur la tête...
Que tous vos chakras s'épanouissent et rayonnent comme ceux de ce multicolore berlinois aux bras grands ouverts...
Que chacun s'harmonisent avec les 4 éléments, les 4 directions, afin que la Terre puisse sourire et le 5ème élément, l'Amour, puisse être...
Que personne ne se sentent obligé de danser, un anneau dans le nez, une laisse au cou et la gueule muselée...
Que 2012 ne soit pas une année faste pour les montreurs d'ours... et que les mal léchés trouvent qui saura bien le faire...
Que tombent tous les murs de Berlin, mais que tienne bon la banquise...
Que prospère le 7ème art et ceux qui l'aiment... les autres arts aussi...
Que ce petit pigeon en rencontre un autre et qu'ils s'aiment d'amour tendre...
Bonne année Michèle.
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