Dans l'étendue désertique des urbanisations contemporaines...
L'âme erre aux confins d'un monde en désertion...
Pourtant existent des ilots de fraîcheur,
Où règne beauté et harmonie...
Où subsiste l'amour de la poésie...
Où subsiste l'amour de la poésie...
Grâce à cet amour jamais ne seront en péril les enchantements du cœur...
Merci chère Michèle de ces mots qui touchent : l'humanité à échoué mais la Nature et toute sa belle énergie demeure, comme au premier jour... combien de temps encore ?
RépondreSupprimerAmitié à toi et bravo pour les mots trouvés dans ton ressenti face aux toiles de C. D. Friedrich :effectivement entières inclinaisons vers l'infini...
La poésie ne cessera jamais ses enchantements. Sans elle nous manquerions de lumière !
RépondreSupprimerAmicales pensées.
Certains blogs comme le tien, tentent de faire un petit refuge pour le âmes, comme pour les oiseaux en hiver. Amitiés.
RépondreSupprimerJ'aime ces îlots de calme et de fraîcheur. J'en ai besoin pour me ressourcer, loin du monde et du bruit. Mon jardin m'offre ces instants.
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