Période de ras-le-bol ?!...opter pour une utile et saine rebellion plutôt que de s'abandonner à une inutile et mauvaise soumission...
Certains jours sont essentiellement consacrés à la détente mentale dans le seul but de favoriser le repos corporel...
Bnjour chère Michel,
RépondreSupprimerLes moments de ras le bol nous montrent que l'on ne s'est pas encore totalement assujetti à la vie. Car tout ce que la vie nous offre est bon à prendre. Aussi, je ne suis pas sur que la rébellion soit le plus cours chemin du retour au calme. Mais bon, la rébellion fait aussi partie de la vie...
Rebellion plutôt que soumission... certes... mais comment passer aux travaux pratiques "dans la vraie vie" ? Là je manque d'idées... La poule finalement semble "presque" libre sous l'azur de ta photographie en clair-obscur... et l'écrin de pelouse, cerné d'ombre tendre, nous entraîne aussitôt dans l'intimité de son orbe rêveuse... Une photo vaut parfois dix-mille résolutions et "exprime" TOUT notre être cent-mille fois mieux que nos mots... Amitié ! Et t'ai répondu, chère Michèle...
RépondreSupprimerLe corps crie notre désespoir mental et ce cri, on le reconnaît bien, il se nomme "la douleur" !
RépondreSupprimerIl est ainsi tellement primordial d'arroser chaque jour le jardin de notre âme ....Dans ce jardin, nous y trouverons mille et une vertus, pour soigner notre coeur et rouvrir notre esprit sur les fenêtres du bonheur ....
A bientôt, michèle, sur la tendre verdure de tes mots : sabine.
Je partage votre avis. Il faut savoir dire non à ce qui doit être refusé et se reposer. Je rencontre beaucoup de gens qui ont constamment les yeux cernés - je trouve que ce n'est pas normal.
RépondreSupprimerBonne journée !
Et regarder de l'autre côté du mur
RépondreSupprimerquand ce grand mur gris, sur la photo, barre l'avenir... quand le premier plan nous encage,
quand plus rien ne nous branche dans ces branchettes nues
qu'on ne porte plus aux nues...
"Le ciel est, par-dessus le toit,
Si bleu, si calme !
Un arbre, par-dessus le toit,
Berce sa palme.
La cloche, dans le ciel qu'on voit,
Doucement tinte.
Un oiseau sur l'arbre qu'on voit
Chante sa plainte.
Mon Dieu, mon Dieu, la vie est là
Simple et tranquille.
Cette paisible rumeur-là
Vient de la ville.
Qu'as-tu fait, ô toi que voilà
Pleurant sans cesse,
Dis, qu'as-tu fait, toi que voilà,
De ta jeunesse ?"
Une poule face à un mur,
lasse de piquer du pain dur
picotti picotta
lève la queue et puis s'en va...
Et le mot de passe, c'était "zesend BAHIA"
RépondreSupprimerqui ressemble à "the end, by"
"basta, ciao"
"the send", "à la fin de l'envoi je touche"
et je cesse d'écouter "The Sound of Silence"
et d'aller discuter again avec darkness my old friend...
Voilà une belle pensée sur laquelle il me faudrait méditer, surtout en ce moment ...
RépondreSupprimerMerci pour ton passage chez moi ce matin et je te souhaite à mon tour un beau début d'été.