Dans une main une lanterne d'où émane trois faisceaux de lumière...
Elle avance à pas mesurés en s'appuyant sur un bâton pour ne pas trébucher..Tout-à-coup émergeant du capucon un visage rayonnant...un regard d'une fulgurante vivacité...
Vision furtive...juste de passage...
Quand dans un visage où le temps a laissé sa longue trace, et ses nombreux sillons, le regard est vif, pétillant, lumineux de sagesse et gourmand de la Vie...
RépondreSupprimeron a à la fois cette sensation du passage, de la date limite...
et cette sensation que les limites ne comptent pas, que les barrières sont faites pour être enjambées, qu'il est passé par ici, qu'il repassera par là, qu'on est pas près d'en avoir fini avec lui...
Ça fait penser à Dumbledore, qui reste là, par divers moyens...
Tel son phénix...
Bonjour Michèle
RépondreSupprimerCette histoire de houppelante me fait frémir et me rappelle un sombre passage de ma vie... Nécessaire mais brrr!
âmicalement, Oliver
Juste passage, même si vision furtive, il reste des traces !
RépondreSupprimerUn reflet de Soi sur le miroir du néant... Belle journée, douce âmie
RépondreSupprimerQue c'est beau à imaginer, j'aurais presque envie d'en faire un conte ...........
RépondreSupprimerEt cela me rappelle les épaisses brumes matinales des chemins, dont celle qui nous avait enveloppé, de toutes parts, juste avant Finisterra que nous découvrions, encore tout étincelants de brume ...c'était magique !
Je t'embrasse : sabine.