Jadis s'entretenait une illusion dans les coeurs incrédules...
Il suffisait qu'ils se réfugient dans l'enceinte protectrice pour échapper aux hordes destructrices...
Au travers des âges, toujours les destins en balance...
Il semble que le plateau contenant le bien et le plateau contenant le mal soient encore en éternel conflit....
Et cet indicateur du centre où devrait se trouver l'équilibre...
Pourquoi le nomme-t-on fléau ?...
I
Nous vivons dans un monde duel: j'aime, j'aime pas, le bien, le mal, le noir, le blanc. Pile ou face, recto verso, côté cours, côté jardin, etc....
RépondreSupprimerTrouver l'équilibre n'est pas évident et quand on le trouve, il est éphémère.
chacun le trouve à sa manière.
RépondreSupprimerl'écriture est certainement un bon moyen.
je crois beaucoup en la tolérane et l'acceptation des autres sensibiltés.
tu vas bien Michèle, j'ai lu chez Cathy que toi aussi tu as eu des soucis.
bisous.Rolky.
Très bonne question (le fléau).
RépondreSupprimerPour la forteresse, "il y a surement moyen d'en sortir..."
Bien à toi, et bon week-end, Oliver
Bonjour Michèle,
RépondreSupprimerUne belle association entre l'image(jolie contre-plongée), entre les mots et la chanson de Dylan-Cabrel
Je ne sais pas pourquoi on appelle le fléau cet endroit
Gros bisous pour toi et des caresses à Scoubi (petit gourmand)
Fanfan
Bonsoir Michel,
RépondreSupprimerL'Homme érige ses propres prisons, lui seul détient la "cléf" de s'en échapper...entre le bien et le mal, trouver cet équilibre, combien de fléaux encore avant de trouver la "mesure" juste à notre devenir...si le coeur de l'Homme, n'était pas "emprisonné" dans des shémas déjà structurés, loin d'un monde non "humanisé" ni "civilisé"...mais l'Homme a travers les âges répètent les mêmes erreurs...dualité dans tout ce qu'il fait, mais cette dualité, à son sens, à cette existence, en notre nature humaine, pour comprendre justement, le bon "côté de la balance"...Merci Michèle, passe un bon week-end, (merci pour la chanson, j'aime beaucoup Francis Cabrel) mon amitié, et ma rose. Corinne (Cronin)
Excuse-moi Michèle,
RépondreSupprimerMes petits doigts ont tapé trop vite, j'ai "mangé" le "e" de ton doux prénom. Bisous. Corinne (Cronin)
Avec l'image et le son,
RépondreSupprimerLes mots trouvent le ton,
Ni trop graves
Ni trop suaves.
Bon week -end loin des ...donjons et des...dragons
Oublions la météo qui est démoralisante.
RépondreSupprimerBon week-end, Michèle.
Bisous chaleureux.
Yvon.
Merci chère Michèle, ta photo solaire laisse parler en silence les pierres sur fond de ciel d'une profondeur abyssale... et j'en reviens toujours à Plotin pour qui ce que l'on nomme "le mal" (cet état carentiel) n'est -au fond - qu'une attente de Bien ! J'aime la pensée incurablement optimiste de cet homme - mortel comme nous autres - qui vécut à Alexandrie au IIème siècle après J.-C. (un peu avant les troubles que décrit si bien le film "Agora" d'Alejandro Amenabar, avec la belle et sensible actrice Rachel Weisz...)
RépondreSupprimerPS : je mettrai le lien au site Mon Petit Editeur dans mon article avant ce soir pour aider les courageux/-ses volontaires désirant acquérir l'ouvrage "Grand Large"...