Cet espace est conçu pour le plaisir simple de communiquer en toute convivialité...pour promouvoir des idées...pour échanger des impressions aussi diverses que variées...bien évidement en toute neutralité et dans les limites de la plus élémentaire courtoisie!...
vendredi 24 février 2012
Samedi 25 Février 2012
Temps de pose...temps de méditation...
Temps de détente...temps de récréation...
Temps de vacuité...temps de réflexion...
Temps qui prend le temps...en agréables moments...
bonsoir Michele ,je me suis replongé dans le passé ce jour ... j'ai visité versaille ,croisé pas mal de LOUIS 13,14 ,15,16 car la lignée c'est arrètée là à cause d'une tête tombée ... révolution oblige ... j'ai fait de belles photos ... bises historiques ...
une citation dans la lande, au bord d'une falaise bretonne :
"Elle aimait ressentir ce temps très ancien qu'on lit sur les roches, ce temps qui s'anime dans le soleil, ce temps qui précède la vie, ce temps qui soulève les vagues de la mer, ce temps dont parle sans cesse Jésus, temps de l'Avent, temps qui arrive et qui n'est jamais là, temps qui se désoriente lui-même dans le vent des astres qui le pousse, temps qui se perd sans fin, perte qui s'épanche bien avant sa comptée, bien avant l'accumulation de ses vestiges, perspective dépourvue d'horizon qui s'enfonce dans l'infini"
bonsoir Michele ,je me suis replongé dans le passé ce jour ...
RépondreSupprimerj'ai visité versaille ,croisé pas mal de LOUIS 13,14 ,15,16 car la lignée c'est arrètée là à cause d'une tête tombée ...
révolution oblige ...
j'ai fait de belles photos ...
bises historiques ...
cool
RépondreSupprimernon mais bonne nuit!!!!!!!!!!!
une citation dans la lande, au bord d'une falaise bretonne :
RépondreSupprimer"Elle aimait ressentir ce temps très ancien qu'on lit sur les roches, ce temps qui s'anime dans le soleil, ce temps qui précède la vie, ce temps qui soulève les vagues de la mer, ce temps dont parle sans cesse Jésus, temps de l'Avent, temps qui arrive et qui n'est jamais là, temps qui se désoriente lui-même dans le vent des astres qui le pousse, temps qui se perd sans fin, perte qui s'épanche bien avant sa comptée, bien avant l'accumulation de ses vestiges, perspective dépourvue d'horizon qui s'enfonce dans l'infini"
Pascal Quignard - "Les solidarités mystérieuses"
( même le titre est beau )
Chère Michèle,
RépondreSupprimer-----------------------------------------
Ici, je me demande si l'idée de ma légende ne t'a pas inspiré ce temps.
Là, je prends le temps de méditer sur la légende du Bébé de Guirande.
Avec toute ma tendre sympathie, Jack le poétiste