Voyelles fémininement parées...émises en murmurantes prononciations voluptueuses...
Peu nombreuses certes...mais sans elles qu'en serait-il de la douceur, de la fluidité des phases, de la beauté du langage ?...Consonnes masculines, en dominance avantageuse...
Prédominantes certes...mais sans elles qu'en serait-il de la tonicité des mots, de la construction des phrases, de l'impact du langage ?...
Il faut de tout pour faire un bon ramage.
RépondreSupprimerBon week-end.
Bisous chaleureux.
Yvon.
beau week-end!
RépondreSupprimerVolupté, oui... c'est le terme qui convient, pour quand on savoure en bouche et en oreille, la langue italienne, riche en voyelles et d'une féminité flagrante...
RépondreSupprimerParler, chanter ou entendre de l'Italien, c'est toujours Anita Ekberg dans la fontaine de Trevi de la "La Dolce Vita"...