Il est plus que fréquent qu'un monde en pleine apogée mais aux valeurs périmées connaisse bon gré mal gré le déclin...à cela quoi de plus normal puisque c'est ainsi que se pourssuit la ronde des cycles...
Dans ces périodes charnières les individualités se dévoilent, les individualistes se révèlent...
D'une part ceux et celles qui choisiront la passivité en évoquant la fatalité...
D'autre part ceux et celles qui saisiront l'opportunité de sortir du lot en se distinguant par leur originalité créative et leur opportunisme...
La « mémoire universelle » du post précédent me permet de répondre non pas à ce post mais aux deux en même temps ,magique non ? Les érudits et quelques autres savent bien que l’Histoire se répète hélas…Souvenons- nous de la Grèce antique ,l’Empire romain ,le siècle des Lumières etc…toute apogée connaît son déclin.. . Pour le post précédent je dirais que la « mémoire universelle » n’est qu’un absolu vers lequel trop peu de personnes hélas songe.
RépondreSupprimerLe plus grand fléau de notre siècle c’est l’ignorance, paradoxalement, à l’ère du tout numérique où une actu .chasse l’autre à la vitesse du haut débit .Peu d’analyses approfondies juste la mise en scène de l’actu .ou son orientation en fonction de ses convictions politiques…Alors de temps à autre une catastrophe ici ou là ,une guerre, « une révolution »par ci, nous interpellent le temps d’une « indignation » de circonstance et la vie suit son cours .Alors « au lieu de me jeter sur le premier Jésus-Christ qui passe… » sur un iman un rabbin ou autre bouddha, « opiums » des peuples pour mieux asservir et non libérer…, prenons le temps, de temps en temps, de la réflexion lucide et sans complaisance de notre « petite condition » face à l’univers ,car ce n’est pas le temps qui passe, ce n’est que nous qui ne faisons que passer …
Y a un clip qui vient en tête à la lecture de ces phrases...
RépondreSupprimerDe l'eau et du sucre, qui après une belle montée en température, prennent la teinte dorée et l'appétissant parfum des brillantes civilisations...
et puis ça se met à faire des grosses bulles...
certaines sortent du lot un instant, épatantes, au maximum de la dilatation... avec des transparences acrobatiques et irisées de vitraux...
d'autres éclatent et s'affaissent rapidement avec des pfff épuisés, limite vulgaires... ou des sifflements de vipères...
et puis, soit on considère que le caramel est à point, arrivé au Gros Boulé... et tout cela va se figer en délicieux bonbons, en spécialités à déguster par les touristes...
soit ça continue et ça brûle, ça pue et ça bousille la casserole !